F comme Franc(Le) de Pompignan

Jean Jacques LE FRANC, juriste et homme de lettres, marquis de Pompignan (Tarn-et-Garonne) il est donc appelé à ce titre  Jean Jacques  LEFRANC de Pompignan

Il est né dans un grand hôtel particulier situé rue Armand Cambon à Montauban (aujourd’hui appelé hôtel Lefranc de Pompignan) le 10 août 1709, baptisé le même jour en l’église de Saint Jacques. Fils de Jacques LE FRANC Conseiller du Roy – Premier président à la Cour des aides  de Montauban et de de de CAULET Marie, sa famille fait partie de la noblesse Montalbanaise. Après ses études chez les Jésuites, Jean Jacques a été avocat à cette même Cour des aides  avant de succéder à son père en tant que président. Élu à l’Académie Française, il fait parler de lui en critiquant ouvertement les philosophes, et il sera l’objet de célèbres attaques de la part de Voltaire. Il s’est surtout fait connaître en tant que poète.

Il a eu un frère Jean George Le Franc, né à Montauban le 22 février 1715 à Montauban , et une sœur Marie Thérèse qui le 22 janvier 1737 en l’église de St Jacques à Montauban épouse  De RAMONDY Jean Antoine.

Jean Antoine avait une sœur, Antoinette qui de son union avec un certain Gineste de Selves Henri a eu comme enfant Marie Marguerite Hélène, épouse de de POMAYROLS  Stanislas Etienne, ils sont les grands parents maternel de Guillemette Émilie de RODAT, célèbre  sainte et créatrice de la fondation des sœurs de la Sainte-Famille .

La célèbre Montalbanaise Olympe de Gouges  (Marie GOUZE de son vrai nom), disait de Jean Jacques LEFRANC de Pompignan qu’il était son père naturel.A Montauban, une place porte son nom


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Publié le : 6 novembre 2021


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Cet article a été écrit par Alexandra

"Telle est la génération des générations: une génération s'en va, une autre génération vient. Il en est des hommes comme des feuilles d'un arbre, feuilles de l'olivier, du laurier, ou de tout arbre qui conserve toujours son manteau de verdure. Ainsi la terre porte les hommes, comme un de ces arbres porte des feuilles; elle est couverte d'hommes dont les uns meurent, dont les autres naissent pour leur succéder. L'arbre a toujours sa robe éclatante de verdure; mais vois au-dessous combien de feuilles sèches tu foules aux pieds."
Saint-Augustin, Psaume 101

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